La Machinerie est le fruit d’une réflexion collective qui a débuté de manière spontanée en 2012, portant sur certains enjeux parmi les plus significatifs du milieu artistique québécois.

Contexte de création

La question de l’accès aux ressources humaines occupait une grande place dans ces discussions, d’abord centrées sur le secteur du théâtre. C’est dans ce contexte qu’une dizaine d’artistes et de travailleur·euse·s culturel·le·s ont pu rêver et concrétiser un mécanisme capable d’améliorer les conditions de pratique des créateurs·trices et des gestionnaires qui évoluent dans l’univers des arts de la scène. Ce groupe d’idéation était constitué de Nini Bélanger, Christine Curnillon, Véronique Fontaine, George Krump, Étienne Langlois, David Lavoie, Valérie Michaud, Jacques Vézina et Mélanie Demers. Fondée en tant qu’OBNL en 2014, la Machinerie évolue depuis comme un effort collectif du milieu artistique. Elle offre à ces individus des solutions aux différents enjeux auxquels ils se trouvent confrontés.

2013

Idéation

Comité de réflexions, structuration du plan d’affaires.

2014

Naissance de l’organisme

Constitution en OBNL, sous le nom temporaire de Le Bureau, gestion des arts.
Rédaction du plan d’affaires

2015

Prédémarrage de l’organisme

Finalisation de l’étude de marché avec Daigle/Saire.

2016

Lancement public de l’organisme

  • Établissement d’un partenariat avec La Vitrine culturelle de Montréal.
  • Rassemblement d’une quarantaine de ressources affiliées en vue du démarrage des activités.
  • Changement de nom de l’organisme pour devenir la Machinerie des arts.
  • Ouverture des services : Ateliers d’expertises et Guichet de collaborations.
  • Tenue d’un événement pour le lancement officiel et public de l’organisme dans le hall de l’édifice du 2-22 (22 septembre 2016).
  • Recrutement de chargé·e·s de projet (2 postes : Rachel Billet et Pablo Matos).

2017

Implantation progressive de services

  • Emménagement dans le bureau 102 de l’Édifice 2-22, toujours en partenariat avec La Vitrine culturelle de Montréal.
  • Mise en place d’un service supplémentaire : Rencontres d’orientation.
  • Obtention d’une mention au Prix de la Relève — Caisse de la Culture 2017
  • Lancement d’un nouveau service : Cellule d’accompagnement.
  • Création de 20 premiers outils de gestion, projet-pilote de la Caisse à outils.
  • Nomination de Rachel Billet à la direction générale.

2018

Un organisme engagé dans son milieu

2019

Un organisme en pleine expansion

  • Projet-pilote des Cliniques 360 et maintien de ce service
  • Rayonnement des activités pédagogiques par des formations à travers la province

2020

Des services bonifiés

  • Bonification de la Caisse à outils avec 85 outils supplémentaires en anglais, dont 32 avec de nouveaux contenus. La Caisse à outils compte maintenant près de 200 modèles et gabarits.
  • Création d’un nouveau service : la Cartographie organisationnelle et les Services à la carte.
  • Fermeture du bureau (télétravail) et début du nomadisme.
  • Rachel Billet est finaliste au concours provincial ARISTA 2020 remis par la Jeune chambre de commerce de Montréal.

2021

Des engagements éthiques

  • La Machinerie s’engage dans plusieurs chantiers pour son plan stratégique 2021-2023. Parmi les initiatives identifiées : devenir plus inclusive, plus accessible, plus responsable et nomade.
  • Le premier geste posé pour lancer ces engagements sera de retirer le système de membrariat payant. Maintenant, la communauté culturelle pourra accéder aux services plus simplement.
  • Création d’un Lab Machinerie pour créer de 18 nouveaux outils pour faciliter la littératie numérique.
  • Nomination d’Ariel Lefebvre comme agent de maillages après plus de 2 ans comme coordonateur
  • Installation des locaux de la Machinerie à la Chapelle historique du bon pasteur en mutualisation d’espace avec le groupe Le Vivier (partage du 2ème étage), sur la rue Sherbrooke Est à Montréal

2022

Une équipe dévouée à sa communauté

  • Rachel Billet reçoit le prix Jeune gestionnaire culturelle remis par HEC Montréal